David Ionovitch Bronstein (en russe : Давид Ионович Бронштейн), né le

à Bila Tserkva, RSS d'Ukraine, en URSS, et mort le à Minsk, en Biélorussie, est un joueur d'échecs soviétique.

Grand maître international en 1950 (le plus jeune à la création du titre), il fait match nul contre Mikhaïl Botvinnik lors du championnat du monde de 1951. Il est également renommé pour les livres d'échecs qu'il a écrits, notamment L'Art du combat aux échecs (le tournoi de Zurich 1953) et (en) 200 open games.

Biographie

Famille

David Bronstein naît dans une famille juive en Ukraine. Son père est responsable d'une minoterie et sa mère médecin.

Son père, Johonon est arrêté le 31 décembre 1937 et emprisonné pendant plusieurs années au goulag pour « avoir défendu des paysans contre des officiels corrompus ». Condamné à des travaux forcés, il est libéré en 1944, avec cependant un bannissement de la ville de Moscou. Longtemps après sa mort, les autorités admirent par écrit que son internement n'avait pas de base légale. Il est cependant possible que son homonymie avec Léon Trotski, dont le véritable nom de famille était aussi Bronstein et qui était comme lui originaire d'Ukraine, ait été la source de tous ses ennuis.

Débuts aux échecs

Le grand-père de Bronstein lui apprend à jouer aux échecs quand il a six ans. Pendant sa jeunesse, à Kiev, il bénéficie de l'entraînement du maître international réputé Aleksandr Konstantinopolski.

Il termine deuxième du championnat de Kiev à l'âge de 15 ans (en 1939), et obtient le titre de maître soviétique à 16 ans (en 1940), pour sa deuxième place au championnat d'Ukraine de 1940, derrière Isaac Boleslavski. Ce dernier devient un ami proche et un partenaire aux échecs. Bien plus tard, en 1984, il épouse sa fille, Tatiana.

Seconde Guerre mondiale

Bronstein s'apprêtait à entrer à l'Université de Kiev pour y étudier les mathématiques, quand l'extension à l'est de la Seconde Guerre mondiale en 1941 interrompt ses projets. Il reprend cependant ses études à l'Institut Polytechnique de Léningrad après la guerre.

Jugé inapte au service militaire en raison de sa mauvaise vue, Bronstein occupe des emplois subalternes pendant la guerre, comme la reconstruction d'immeubles détruits par des bombardements.

Dernières années

Du fait de son soutien à son ami Viktor Kortchnoï, lors du match des candidats de 1974 contre Anatoli Karpov et dans les années suivantes,, Bronstein est banni des tournois à l'étranger par les autorités soviétiques dans les années 1975-1985. L'interdiction ne fut levée qu'avec la Perestroïka, en 1986 pour les tournois dans les pays de l'Est, et en 1989 pour les tournois en Occident.

Dans les dernières années de sa vie, Bronstein continue à jouer aux échecs à un haut niveau. Ceci grâce à de nombreuses parties en simultanée, mais aussi par son attitude chaleureuse, et des récits épiques de ses propres aventures échiquéennes.

Carrière

Champion de Moscou

Bronstein est champion de Moscou à six reprises :

  • seul vainqueur en 1946 (devant Simaguine, Alatortsev, Kotov et Smyslov),
  • en 1953 : deux points devant Lilienthal et Simaguine
  • en 1957 : deux points devant Vassioukov et Averbakh ;
  • en 1961 : vainqueur du départage contre Viktor Koupreïtchik ;
  • en 1968, covainqueur ex æquo avec Tigran Petrossian ;
  • en 1982, covainqueur ex æquo avec Noukhim Rachkovski.

En 1947, il termine premier ex æquo avec Simaguine et Ravinski, mais termine deuxième du départage.

Champion d'URSS (1948 et 1949)

En 1944, Bronstein participe pour la première fois au championnat d'échecs d'URSS dont il occupe une des dernières places ( 4 -7 =5) après avoir cependant battu le futur vainqueur Mikhaïl Botvinnik. L'année suivante, il termine 3e ( 7 -4 =6).

À partir de 1944, il réalise une énorme progression puisque, quatre ans plus tard, il conquiert le titre à deux reprises :

  • en 1948, à Moscou : 7 -1 =10, premier ex æquo avec Alexandre Kotov
  • en 1949, à Moscou : 8 -1 =10, premier ex æquo avec Vassili Smyslov et devant les meilleurs joueurs soviétiques, à l'exception de Mikhaïl Botvinnik.

David Bronstein participe à vingt finales du championnat d'URSS, de 1944 à 1975, dont six finales consécutives de 1957 à décembre 1961.

Grand maître international (1950)

Bronstein obtient le titre de grand maître international lors de la création du titre en 1950. À 26 ans, il était le plus jeune grand maître parmi les 27 joueurs qui reçurent le titre.

Tournois interzonaux, tournois des candidats et championnat du monde

1948-1950 : vainqueur du cycle des candidats

La progression de Bronstein au championnat d'URSS lui permet de se faire connaître en dehors des frontières de l'URSS. Il obtient son premier succès en 1948 lors du tournoi interzonal de Saltsjöbaden, grâce auquel il se qualifie pour le Tournoi des candidats suivant. Il finit en effet à la première place ( 8 =11), laissant le second, László Szabó, à un point. En 1950 au tournoi des candidats de Budapest, il termine premier ex aequo ( 8 -2 =8) avec son ami Isaac Boleslavski. Ils durent ensuite se départager dans un match en 12 parties qui s'acheva sur une égalité ( 2 -2 =8 pour chacun des joueurs). Ce fut dans la prolongation que Bronstein l'emporte ( 1 =1) et qu'il acquiert le droit de défier le champion du monde Mikhaïl Botvinnik.

Match pour le championnat du monde (1951)

En 1951 à Moscou, Bronstein rencontre Mikhaïl Botvinnik dans un match en 24 parties. Après un début de rencontre équilibré, Botvinnik atteint tout de même le milieu du match avec un avantage d'un point qu'il conserve jusqu'à la 20e partie. Puis Bronstein gagne les deux parties suivantes et prend l'avantage. Au cours de la 23e et avant-dernière partie, il commet une grosse faute dans une position nulle et perd, permettant ainsi à Botvinnik de revenir à sa hauteur. Il ne reste plus au champion du monde qu'à assurer dans la dernière partie pour conserver son titre ( 5 -5 =14), selon la règle de la Fédération internationale des échecs (FIDE) qui prévoyait cette issue en cas d'égalité finale.

Bronstein est considéré comme l'un des plus forts joueurs à n'avoir jamais été champion du monde, au même titre que Paul Keres, Viktor Kortchnoï ou Bent Larsen. Il n'eut plus jamais l'occasion de prendre sa revanche par la suite. Botvinnik et lui ne s'appréciaient guère et l'on a souvent insinué que Bronstein avait subi des pressions. La réponse de Bronstein a d'ailleurs toujours été assez évasive à ce sujet.

1953 : deuxième du tournoi des candidats

En qualité de finaliste du championnat du monde, Bronstein n'eut pas besoin de participer au tournoi interzonal de Stockholm en 1952 et fut directement qualifié pour le Tournoi des candidats de Zurich 1953. En 1953 à Zurich, il termine à la 2e-3e place ( 6 -2 =20) et laisse Vassili Smyslov tenter de détrôner Mikhaïl Botvinnik. En 1956, il publie le livre du tournoi.

1955-1956 : vainqueur de l'interzonal

En 1955, il joue dans le tournoi interzonal de Göteborg où il termine 1er ( 10 =10) avec 1½ point d'avance sur Paul Keres. Il accède ainsi au tournoi des candidats d'Amsterdam de 1956.

En 1956 à Amsterdam, il ne put faire mieux que partager la 3e-7e place ( 4 -3 =11).

1958 à 1964 : sixième de l'interzonal d'Amsterdam

À Portorož en 1958, Bronstein perd contre le maître international philippin Rodolfo Cardoso et finit à la 7e-11e place du tournoi interzonal avec 11,5 points sur 20 ( 4 -1 =15), à un demi-point du sixième qualifié et ne parvient pas à se qualifier pour le tournoi des candidats de 1959. Sa 12e-13e place du XXVIIIe championnat d'URSS (tournoi zonal) de janvier-février 1961 à Moscou ne l'autorise pas à prendre part au tournoi interzonal de Stockholm de 1962.

En 1964, Bronstein termine troisième du tournoi zonal de Moscou. Qualifié pour l'interzonal d'Amsterdam en 1964, il occupe la 6e place ( 10 -1 =12), qualificative pour la nouvelle formule des matchs des candidats. Mais une règle de la FIDE précisait que trois représentants seulement d'un même pays pouvaient disputer la phase finale des candidats. Trois Soviétiques, Vassili Smyslov, Boris Spassky et Mikhaïl Tal, avaient terminé dans les quatre premières places. Ainsi, Leonid Stein (5e) et Bronstein furent éliminés au profit des deux non-Soviétiques qui les suivaient au classement final.

1966 à 1975 : sixième de l'interzonal de Pétropolis

Au XXXIVe championnat d'URSS de 1966-1967 qui était un tournoi zonal, il finit à la 8e-9e place et se voit éliminé de la course au titre, manquant le tournoi interzonal de Sousse en 1967.

En 1969, lors du XXXVIIe championnat d'URSS, tournoi zonal qualificatif pour le tournoi interzonal de Palma de Majorque en 1970, il est éliminé en demi-finale.

Bronstein n'était pas qualifié pour les tournois interzonaux de 1973, Leningrad ou Petrópolis car il avait terminé 13e-16e ex æquo du championnat d'URSS 1972 à Bakou. Il écrivit au président de la FIDE, Max Euwe pour obtenir de l'aide. Celui-ci le nomma premier remplaçant pour les interzonaux. Bronstein remplaça Leonid Stein qui était brutalement décédé deux semaines avant l'ouverture du tournoi interzonal de Pétropolis. Bien qu'insuffisamment préparé, Bronstein termina néanmoins à la 6e place ( 7 -3 =7) et fut éliminé.

En 1975, Bronstein participe au tournoi zonal de Vilnius, marquant 7 points sur 15, finit 10e-11e sur 16 joueurs et est éliminé du cycle 1975-1978.

Tournois internationaux remportés

Bronstein joue dans de nombreux tournois internationaux disputés à l'étranger et, en plus des tournois interzonaux de 1948 et 1955 et du tournoi des candidats de Budapest 1950, il remporte la première place dans les tournois suivants :

  • 1952 : Liverpool (championnat du monde universitaire)
  • 1953-1954 et 1975-1976  : tournoi de Hastings « premier »
  • 1954 : Belgrade ( 8 =11)
  • 1957 : Gotha
  • 1965 : Szombathely (mémorial Asztalos)
  • 1959 : Moscou (tournoi du club central),
  • 1968 : Berlin (mémorial Lasker)
  • 1971 : tournoi de Sarajevo (ex æquo avec Matulovic et Bobotsov)
  • 1974 : San José (championnat open d'Amérique centrale) : 5 / 5
  • 1976 : Sandomierz (tournoi open) : 8 / 11 ( 5 =6)
  • 1977 et 1988 : Budapest
  • 1978 : Jurmala (devant Goufeld, Knaak et Taïmanov)
  • 1989 : open de Manchester
  • 1994-1995 : tournoi open de Hastings

Palmarès

Source : L'apprenti sorcier.

1938 à 1947 : champion de Moscou

En 1944, lors du tournoi de Bakou, Bronstein se qualifie pour la finale du XIIIe championnat d'URSS. Lors de sa première finale, à Moscou, il finit quinzième.

1948 à 1957 : champion d'URSS et vice-champion du monde

1958 à 1967 : champion de Moscou, éliminé dans les tournois interzonaux

En février 1957 et 1958, Bronstein finit deuxième puis troisième derrière Tal du championnat d'URSS. Les années suivantes, en février 1959, 1960 et 1961, il ne termine que 12e-13e, à chaque fois sur le score de 9 points sur 19, du championnat d'URSS et manque la qualification pour le tournoi interzonal de 1962 lors du XXVIIIe championnat de 1961, qui était un tournoi zonal.

1968 à 1980

En 1972, Bronstein termine 13e-16e avec 9,5 points sur 21 ( 5 –7 =9) du championnat d'URSS 1972 à Bakou. Il participe pour la dernière fois à la division supérieure du championnat d'URSS en décembre 1975 et finit 9e-10e à Erevan avec 7,5 points sur 15 ( 4 –4 =7). En août 1975, Bronstein participe au tournoi zonal de Vilnius, marquant 7 points sur 15 et finit 10e-11e sur 16 joueurs. En 1976, il termine 12e du tournoi du club central d'Odessa remporté par le Philippin Rosendo Balinas. En 1978, il finit 29e ex æquo du tournoi de sélection pour le championnat d'URSS à Daugavpils avec 6,5 points sur 13 (tournoi remporté par Kasparov). En novembre 1980, il finit 10e ex æquo du tournoi international de Tbilissi (mémorial Viktor Goglidzé remporté par Goufeld).

1981 à 1996

De 1977 à 1988, Bronstein ne put disputer aucun tournoi en dehors de l'URSS ou des pays de l'Est, à l'exception d'une simultanée contre des ordinateurs disputée à Rotterdam en 1983 ( 11 -2 =3).

Olympiades d'échecs

Bronstein joue pour l'URSS dès la première apparition de ce pays dans cette épreuve (en 1952). Au total, il participe à quatre éditions à l'issue desquelles l'URSS remporte la médaille d'or :

  • 1952 - Helsinki : 3e échiquier ( 7 -1 =2) - Médaille d'or ;
  • 1954 - Amsterdam : 3e échiquier ( 7 =7) - Médaille d'argent ;
  • 1956 - Moscou : 4e échiquier ( 9 =4) - Médaille d'or ;
  • 1958 - Munich : 4e échiquier ( 7 =5) - Médaille d'or.

Championnats d'Europe par équipes

Bronstein participe aussi à deux éditions de cette compétition qui virent la victoire de l'URSS :

  • 1957 - Vienne : 3e échiquier ( 3 =3) - Médaille d'or ;
  • 1965 - Hambourg : 5e échiquier ( 2 -1 =6).

Matchs internationaux

Les années 1940 et 1950 étaient riches de matchs amicaux entre villes ou pays. Bronstein participe ainsi aux matchs :

Avec la ville de Moscou

  • 1946 - Moscou - Prague : 1er échiquier ( 10 -1 =1)

Avec l'équipe d'URSS

  • 1954 :
    • Argentine - URSS : 2 -1 =1 contre Miguel Najdorf
    • Uruguay - URSS : 2 contre Rogelio et Ernesto Rotunno
    • France - URSS : 2 contre Ossip Bernstein
    • États-Unis - URSS : 1 contre Arthur Dake et 3 contre Arnold Denker
    • Angleterre - URSS : 2 contre Harry Golombek
    • Suède - URSS : -1 =1 contre Erik Lundin

Match URSS contre le Reste du monde (1970)

Lors du premier match URSS - Reste du monde à Belgrade en 1970, Bronstein se trouvait en deuxième position sur la liste des remplaçants, mais il n'eut pas l'occasion de jouer.

Tournois et championnats Blitz

Bronstein a remporté le championnat du Soir de Moscou en 1948 (8 min), en 1952 (5 min) et en 1953 (5 min), après départage, devant Petrossian, Averbakh et Smyslov. Les tournois présentés dans le tableau étaient à la cadence de 5 minutes par joueur. Il n'y avait pas de championnat d'URSS de blitz et le tournoi soviétique de blitz le plus fort était le championnat de Moscou de blitz.

Publications

David Bronstein est l'auteur de nombreux ouvrages et articles. Son livre L'art du combat aux échecs (Tournoi des candidats de Zurich 1953) est l'un des plus cités dans le monde échiquéen. De nos jours encore, il constitue toujours une référence pour les joueurs d'échecs. Dans chacun de ses livres, Bronstein met l'accent sur les idées derrière les coups joués, plutôt que d'inonder le lecteur de nombreuses variantes.

Son travail théorique a transformé la défense est-indienne qui est passée d'ouverture considérée comme douteuse, avant la Seconde Guerre mondiale, à une défense solide, pleine de possibilités de contre-jeu. Sa maîtrise de cette ouverture est illustrée dans Bronstein on the King's Indian, paru en 1999.

Mais les contributions de Bronstein à la théorie des ouvertures ne s'arrêtent pas là, puisqu'une variante de la défense scandinave (dont il était un ardent partisan) porte son nom : 1.e4 d5 2.exd5 Dxd5 3.Cc3 Dd6. De plus, à l'instar de Boris Spassky, il n'hésitait pas à jouer le gambit du roi, une ouverture risquée, contre des joueurs de premier plan. Son ouvrage 200 open Games a été un des livres de chevet de Garry Kasparov dans sa jeunesse.

Livres traduits en français

  • L'Art du combat aux échecs, le tournoi des candidats de Zurich, 1953, éd. Garnier, 1984 ; rééd. Payot, 1994. (ISBN 2-228-88784-6) ;
  • avec Tom Furstenberg : L'apprenti sorcier, Jean-Louis Marchand éditions, 2000.

Livres en anglais

  • (en) Two Hundred Open Games, Batsford, 1973 ; MacMillan (New York), 1974 ; Dover, 1991 ;
  • (en) Chess in the eighties, Macmillan, 1982 ;
  • (en) The Modern Chess Self Tutor, Everyman Chess, 1995 ;
  • avec Ken Neat : (en) Bronstein on the King's Indian, Everyman Chess, 1999 ;
  • (en) Secret Notes, éd. Olms, 2004.

« Cadence Bronstein »

Dans le but d’éviter le zeitnot, le manque de temps en fin de partie, l'Américain et ancien champion du monde Bobby Fischer imagina de modifier les pendules d'échecs pour avoir la possibilité de rajouter un temps supplémentaire défini pour chaque coup joué (de quelques secondes pour les parties blitz, à quelques minutes pour les parties lentes). Cet incrément de temps est appelé la « cadence Fischer ». David Bronstein la modifia en supprimant l'accumulation du temps possible si un joueur joue en moins de temps que l'incrément. Par exemple si l'incrément est de 5 secondes et que le coup est joué en 3 secondes, le temps du joueur est accru de 2 secondes avec la cadence Fischer contre aucun dans la cadence Bronstein (il ne lui est crédité que les 3 secondes qu'il a consommées donc aucun gain de temps).

Exemple de partie

Voici une de ses victoires avec les Noirs au championnat du monde d'échecs à Moscou en 1951 contre Mikhaïl Botvinnik :

1.d4 Cf6 2.c4 e6 3.Cc3 Fb4 4.e3 O-O 5.Fd3 c5 6.Cf3 b6 7.O-O Fb7 8.Ca4 cxd4 9.a3 Fe7 10.exd4 Dc7 11.b4 Cg4 12.g3 f5 13.Cc3 a6 14.Te1 Cc6 15.Ff1 Cd8 16.Ff4 Fd6 17.Fxd6 Dxd6 18.Fg2 Cf7 19.c5 Dc7 20.Tc1 Tae8 21.Ca4 b5 22.Cc3 f4 23.d5 fxg3 24.fxg3 exd5 25.Dd4 Cf6 26.Ch4 Te5 27.Txe5 Dxe5 28.Dxe5 Cxe5 29.Cf5 Cc4 30.Td1 Rh8 31.Te1 Cxa3 32.Cd6 Fc6 33.Ta1 Cc2 34.Txa6 d4 35.Ccxb5 Fxg2 36.Rxg2 Cg4 37.Cf5 d3 38.Td6 Txf5 39.Txd7 Cce3 0-1

Notes et références

Voir aussi

Bibliographie

En français

La source fondamentale en français est :

  • Bronstein, Fürstenberg, L'apprenti sorcier, paru en 2000 aux éditions Jean-Louis Marchand.
  • Nicolas Giffard, Le Guide des Échecs, éd. Robert Laffont, 1993
  • François Le Lionnais, Dictionnaire des échecs, éd. PUF, 1967
En anglais
  • (en) Sunnucks, The Encyclopaedia of Chess, 1970
  • (en) Kazic, International Championship Chess, 1974
  • (en) Hooper et Whyld, The Oxford Companion to Chess, 1984
  • (en) Whyld, (Guinness) Chess; The Records, 1986
En russe
  • Boris Veinstein, L'improvisation dans l'art des échecs, Fizikoultoura i sport, 1976.

Lecture complémentaire

  • (en) Irving Chernev, Twelve Great Chess Players and Their Best Games, Dover, août 1995 (ISBN 0486286746)

Liens externes

  • Ressource relative au jeu :
    • Chess Tempo
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